Entrainement seule... ou pas [PV Libre]

Étalée dans la couverture de mon lit maintenant plein de poils de chat, je dormais comme un... chaton ?... Jusqu’à ce qu'un oiseau dans l'arbre juste à côté de la fenêtre ce mette à chanter. La voix perçante et désagréable résonnait dans ma tête. Je me transformais donc en un aigle et commençais à le pourchassé, il finie par partir. Je me retransformais donc en humaine. Je fermais la fenêtre par laquelle était sortit l'oiseau, qui avait laisser des plume tellement il était sortit vite. Je soupirais, maintenant je n'arriverais plus à dormir c'est sûr. Je sortis de ma chambre et commençais à explorer les couloirs sachant très bien que des vampires pouvaient rodés à cette heure là. Au bout de quelques minutes, une double porte noir en bois se présenta devant moi. Dessus il y avait marqué : Salle d'entrainement pour ceux qui change d'apparence. Faisant partis de cette catégorie, j'y rentrais. Cette salle était juste une pièce pleine de miroirs. T'en que j'étais là pourquoi ne pas en profiter, j'avais beaucoup de mal dans mes transformations canines alors que étrangement les transformations félines ne me donnaient aucun mal. Je fermais les portes avant de fermer les yeux et de me concentrer. La sensation de changement de mon corps dont j'avais pris l'habitude de ressentir dés que je changeais d'apparence me submergea. Quand je rouvris les yeux, je n'avais que la queue et les oreilles d'un chien.

- C'est pas vrai...

Au même moment, des pas résonnèrent vers la salle et la double porte s'ouvrit.

En tant que chasseur de prime, j'avais de nombreux employeurs. Aujourd'hui, j'avais donc eu une offre. Je n'étais pas du genre à refuser, alors j'avais accepté. La personne visée, je devais la tué et la ramener. Mais je ne l'avais pas trouvé. Je devais donc par consequant, aller voir plusieurs personnes. Et seule la personne à qui j'allais demandé, ce trouvait au pensionnat. J'avais entendu dire qu'il était impénétrable. Mais la preuve que non.
Je guetta pendant pratiquement 2h45 afin de trouver une faille et hop, trouvé ! Toute les heures, il y avait les mages qui s'échangeaient et il y avait un bref instant d'innatention. J'étais bien équipée. Au moment où l'échange se produit, je me téléporta derrière le mage et l'assoma sans laisser aucune trace comme à mon habitude. Je rentra discrètement en passant près d'un placard pour y laisser le mage, ligoté et bayonner. Après cela, je me cacha dans la couloir en attendant de trouver la personne à qui je devais poser mes questions. Puis d'un coup, je souris lorsque j'aperçu " Stéphie Night ". C'était la seule personne qui avait les informations que je désirais.
Je réussi à la suivre sans qu'elle ne me voit jusqu'à ce qu'elle entre dans une salle, apparament vide. Je m'approcha et lis : " Salle d'entraînement pour ceux qui changent d'apparance ". Sincèrement, cela ne me fis même pas frissonner une seule seconde. Je me téléporta dans la salle derrière un des nombreux mirroirs. Il fallait absolument que je l'empêche de s'échaper ou de se transformer. Je sortis discèrement un couteau. Il était enduit d'un produit qui paralysait la personne touché pendant 2 bonnes heures. Je lui lança dessus et sans rater, il atterit dans l'épaule. Je m'avença en souriant, un autre couteau en main au cas où. Je m'avança en face d'elle avec un sourire mauvais et dit :

- " Ça fait mal, hein ? "

La porte double s'ouvrit sur... personne, je me tournais vers celle ci. Pourtant la porte avait l'air lourde comment un courant d'air aurait t-il pus déplacé cette porte ? Je m'approchais et ne vis pas le couteau foncé vers moi. Il se planta dans mon épaule droite et presque tout de suite une douleur insoutenable me paralysa, je voulus porter ma main à mon épaule mais tout mon corps ne bougeais plus. Je n'arrivais même plus à enlever les oreilles et la queue de chien qui d'habitude seraient partit dés que je l'aurais souhaiter. Soudain une voix féminine me parvient.

- Ça fait mal, hein ?

C'était une fille plutôt jeune qui me regardait avec un sourire mauvais. Ses yeux rouge me regardaient presque sadiquement.

- Que ce que tu me veux ? lui demandais-je alors que la douleur commençais à d’intensifié mais pas seulement sur mon épaule, tous mon corps commençais à me faire souffrir.